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Pour que tout le monde ait l'information :

Les inscriptions restent ouvertes tant que le tour 1 est en cours, car il reste possible de se greffer au reste du groupe étant donné que tous les personnages sont actuellement en train de sortir de la zone d'Olympus.
Ce sujet sera verrouillé une fois le tour terminé et les inscriptions fermées.

Vu qu'il s'agit de mon pouvoir, je me permets quelques petites précisions sur les effets des maux de Pandore, étant donné que toutes les personnes participant à l'event (que ce soit en section libre ou sur inscription), sont touchées.

Pour rappel, dès que/si vos rps en section libre atteignent le début d'après-midi, votre personnage est touché par un mal de la boîte de Pandore, que vous pouvez obtenir au hasard en lançant un dé depuis ce sujet : https://dea-kademeia.forumactif.com/t541-lancer-de-des-melodies-d-automnes


- Tous les maux commencent à un niveau faible. Ils sont faciles à repérer si on se concentre dessus, mais aussi faciles à rater si on ne sait pas ce qu'on cherche. Au fil du temps, ils deviennent de plus en plus intenses.
- Dans tous les cas, si le mal n'est pas retiré, il finit par obnubiler complètement sa victime. Il est à son niveau maximum quand plus rien n'existe que son influence et sa présence dans l'esprit ou dans le corps de la personne.
- Liste des maux et des effets qu'ils ont le plus souvents. Ce sont des exemples au cas où vous auriez besoin d'un peu d'indications pour le déroulement de vos rps, mais c'est globalement comme ça qu'ils fonctionnent :

• La douleur commence avec quelque chose de léger, comme une sensation de piqûre, une démangeaison, par exemple, et de localisé, et s'étend autant en intensité qu'en envergure.
• La famine est au début similaire à un petit creux, ou une envie soudaine d'un aliment particulier, et évolue jusqu'à devenir une faim insatiable et douloureuse, qui n'est jamais rassasiée ; voire qui donne un goût de cendre aux aliments.
• L'orgueil est l'un des deux plus discrets. Il transforme la mentalité petit à petit, donnant à sa victime la sensation de plus en plus présente d'être invulnérable et surpuissant, que ce soit au niveau physique ou psychologique, de ne jamais avoir tort et/ou d'être exempt de défauts ; elle peut aussi être dotée d'une ambition ou d'un perfectionniste qui s'accentuent jusqu'à devenir démesurés. Même confrontée à la réalité de sa contamination, une victime de l'orgueil aura tendance à entrer dans le déni et à se croire immunisée.
• La colère suit le même fonctionnement. Selon les personnes, elle commence par un tempérament plus irritable ou susceptible et peut évoluer à divers degrés, dont le plus violent est une soif de guerre et de sang incontrôlable frôlant la folie meutrière.
• Le désespoir peut avoir plusieurs visages. Il peut être autant composé de tristesse de plus en plus intense que de découragement ou d'une sensation de vide omniprésente. Les symptômes sont globalement similaires à ceux de la dépression, de plus en plus sévère avec le temps.
• La maladie s'étend progressivement. Le plus cohérent est une évolution des symptômes, commençant par quelque chose d'à peine notable (petit mal de tête, mal de ventre, etc) juqu'à devenir vraiment généralisé. Ça peut tout aussi bien être une maladie existante qui empire qu'une succession de symptômes de plus en plus nombreux sans lien les uns avec les autres.
• La fatigue commence par une petite somnolence, ou une lassitude, par exemple, et peut évoluer autant en ennui généralisé et absence de motivation qu'en situation proche de la narcolepsie, voire au coma si elle est enracinée trop longtemps
• Le vice correspond à une absence de valeurs morales. Il peut prendre plusieurs visages selon les personnes et leur personnalité de base. Globalement, il renforce les comportement immoraux (par exemple mensonge, duperie, manipulation, alcool, débauche, etc) et pervertit les bons côtés. C'est le seul, avec l'orgueil, qui a une influence directe sur la personnalité. Les victimes du vice se laissent donc emporter de plus en plus loin sans s'en apercevoir.
• L'espoir paraît positif au début. Il redonne de la motivation, de l'envie d'avancer, permet de se projeter dans l'avenir de façon optimiste. Mais s'il dure trop longtemps et qu'il a le temps de s'enraciner, il évolue lentement vers l'imprudence et un optimisme irréaliste qui peut causer bien plus de mal que de bien. Il peut même aller jusqu'à rendre la victime simplette, persuadée que rien de mal ne peut jamais arriver.