Hécate était dans ses jeunes années de la garderie, une petite déesse intrépide et touche à tout. Elle ne désirait qu'une chose, explorer le monde, voir ses limites. Une attitude des plus simples, quand Hécate ne comprenait pas quelques choses, elle s'y confrontait. Une attitude curieuse et volontaire qui n'est pas toujours sans risque. Comme on le dit souvent, la curiosité est un vilain défaut. Bien sûr, on ne parles pas ici de toutes les formes de curiosité, mais d'une forme précise, la curiosité sans mesure. Cette curiosité qui demande de prendre des risques inconsidérés, d'entreprendre sans prendre en compte les dangers. Et Hécate la mini déesse de la nouvelle lune était particulièrement friante de ce genre de curiosité.

Et aujourd'hui, une nouvelle idée avait fleuri dans sa tête, l'idée d'apprendre à nager. Une idée simple, mais qui dans l'esprit d'Hécate avait prit la forme la plus direct et implacable possible. Elle compte sauter dans le bassin le plus grand et profond de la garderie, profitant d'un instant d'inattention des divinités primordial pour se confronter au bassin. La mini divinité aux cheveux améthyste, paraît d'un simple pagne et d'un tissu noué autour de la poitrine, se met à courir. Elle n'envisage même pas l'échec quand elle se rapproche du bassin des mini nereide et mini divinité fleuve. Puis elle saute, decolant du sol, bras tendu comme pour accepter l'eau, les trois ou quatre conseils théorique qu'on lui a donné encore en tête, puis PLAT.

Hécate venait de s'écraser de tout son long sur l'eau. Deux seconde lui sont nécessaires pour bien analyser ce qu'on appel communément un plat. Avant de commencer à agiter les bras. Une nage proche de celle d'un chien, qui en plus d'être particulièrement lente et aussi passablement fatiguante, mais la mini déesse ne semble pas en démordre.

"- Zle pe zzzzle faire. Zle pe zllle faire."

Sa tête passe de dessous à sur l'eau de manière répété, alors que son bassin zigzag de manière totalement inutile. La nage aussi ridicule que désordonné ne fait avancer la ctonienne que de quelques mètres à peine alors que son corps s'enfonce involontairement vers le fond. Sa tête quand a elle, est trop peu souvent à l'air libre pour lui permettre de respirer.